En présentiel sur un pied d’égalité
Jusqu’au 31 juillet 2025, je suis à votre disposition dans mon cabinet en présentiel à Tittling, près de Passau.
À partir du 1er septembre, mon cabinet en présentiel se trouve au :
145, rue de Mayence, 66121 Sarrebruck
Un accompagnement
en ligne est également possible
Peu importe où vous vivez, je vous propose également mon accompagnement thérapeutique intégratif en ligne.
De quoi avez-vous besoin ?
D’une connexion Internet stable avec Wi-Fi, d’un ordinateur équipé d’une caméra, d’un microphone, de haut-parleurs, et du programme ZOOM.
La société, tout comme l’éducation à la maison et dans les institutions – de la maternelle à l’université – obéit aux lois de l’économie de marché et de la
compétition. Cela s’accompagne d’un niveau élevé d’exigence quant aux performances attendues de chacun et chacune. Toujours plus vite, mieux, plus haut, plus loin, plus efficace, plus
performant.
Mais quelle est la vitesse dont vous avez besoin pour atteindre vos
objectifs ? Les maladies psychiques modernes comme le burn-out, souvent accompagnées de crises d’angoisse et de dépression, ne sont-elles pas des signes que nous ne pouvons plus suivre ce rythme
effréné ? Que les pas sont trop grands, que les attentes sont trop élevées ?
Dans mon travail gestalt-thérapeutique, il ne s’agit pas d’efficacité ou de gravir les échelons du succès le plus rapidement possible. Il s’agit bien plutôt
d’identifier les moteurs internes qui nous empoisonnent souvent la vie. Ces parts intérieures, avec leurs messages répétitifs (souvent appelés «
croyances limitantes »), manipulent notre comportement et augmentent notre stress – jusqu’à nous mener aux limites de notre endurance, voire à l’effondrement.
L’art des petits pas, voilà ce que je cultive dans l’accompagnement de mes patientes et patients. Une femme m’a dit un jour : « Je vais à mon rythme ! » – elle devait vivre depuis l’enfance avec une limitation physique au pied. Sur le chemin vers un séminaire, je m’arrêtais sans cesse pour l’attendre, gêné d’aller trop vite. Mais elle me répondit simplement : « Puisque l’une de mes jambes est trop courte, je ne veux pas, en plus, être laissée pour compte ! » Et pendant que je réalisais que j’étais moi-même en train de me précipiter, elle continuait à avancer – tranquillement, en boitant, mais à son rythme.
Avancer à votre propre rythme – c’est cela qui compte.
Et moi, je vous accompagne.